J’ai volé cette image dans la rue, en voyant ce vieil homme travailler dans le fond de sa boutique de bric et de brac, à peine plus large que l’ouverture de la porte.
Tokyo est encore rempli de ce genre de petites boutiques en bois, dans lesquelles on trouve de tout et n’importe quoi, alors que quelques mètres plus loin, se trouvent des magasins de luxe ou des bâtiments d’affaires.
Je me demande parfois comment ces braves personnes parviennent à maintenir leur business, mais en tout cas, je trouve ça plutôt sympathique. C’est typiquement le genre de témoignages, que la ville possède une histoire, qui manque cruellement aux villes plus jeunes et sans réelle personnalité.